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Tout posséder ou tout perdre. Par de multiples tableaux et en traversant les siècles, l'emprise est le maître mot de ce spectacle.



Sur scène, des textes d’auteurs connus tels que Le dernier jour d’un condamné de Victor Hugo, La Peste d’Albert Camus ou encore Le monologue d’un sans-abri par Bernard-Marie Koltès dans Roberto Zucco sont des écrits qui s'entremêlent et se répondent pour interroger l'emprise au sein de notre société. Une prise d’otage dans un train vaudois inspirée d’un fait réel, l’emprise conjugale et familiale complètent cette fresque.



Quelle échappatoire reste-t-il lorsque nous réalisons ne plus maîtriser notre destin ? La peur s'impose comme vecteur commun qui offre un choix : fuir ou combattre.