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Si des symboles – portes, cercles et élévations – créent d’étonnantes correspondances entre les œuvres des deux artistes, ils n’ont jamais travaillé ensemble et chacun a eu son propre parcours.

André Raboud a décidé à vingt ans de consacrer sa vie à la sculpture. La civilisation celte et ses voyages en Crête, en Amérique centrale et au Japon ont profondément marqué son travail artistique, jalonné de nombreuses œuvres monumentales.

Diplômé des Beaux-Arts, John Allemann a mené une carrière publicitaire en parallèle à la peinture. Depuis 2005, il s’adonne entièrement à la peinture dans son atelier veveysan en insatiable explorateur des « Reflets urbains » puis des « Reflets humains, transformés en « Libertés » depuis 2015.

Reste que tous deux ont ce sentiment de partager un chemin de transcendance : entrer dans la vie, subir ses chaos, trouver des passages, s’élever vers la lumière et l’espoir. Dans une expression artistique très différente mais dans un même esprit.