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« Le pire, ce n'est pas d'oublier quelque chose, mais de n'avoir plus rien à oublier. » La pièce écrite par l'auteur belge Thierry Pochet explore les méandres de la mémoire. Elle raconte l'évolution d'un comédien dont la mère souffre de la maladie d'Alzheimer et qui a lui-même peur de perdre la mémoire. Spectacle touchant, jeu d'ombre et de lumière, qui ne laissera personne indifférent ! Ce seul en scène est interprété par Alain Jacot, mis en scène par Jacint Margarit.

Voici ce qu'e dit Alain Jacot:
Souviens toi avant d'oublier!
Quoi de plus énigmatique, troublant, et effrayant que la mémoire lorsqu'elle vous échappe ? Peuton
choisir de se souvenir ou d'oublier? Pour un comédien, qu'y a-t-il de plus angoissant que de
perdre son texte ? Le personnage principal de cette pièce est un comédien confronté à des souvenirs
qui l'obsèdent et dont il voudrait bien se débarrasser, tels les reproches de sa mère l'accusant
d'avoir tué son père - une mère elle-même atteinte de la terrible «maladie de l'oubli»...
Et au fur et à mesure que les souvenirs lui reviennent ou lui échappent, l'action se construit ou se
défait, dans une confusion des pensées, des rôles et des sentiments.
Canari nous parle de la mémoire avec beaucoup de tendresse et une poésie empreinte d'humour.
c'est avant tout un vibrant témoignage d'amour à la vie. Une pièce qu'assurément vous n'oublierez
jamais!