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Fredy Studer Solo / Koch - Emaille - Peter / Mr. Schütz & Mr. Sartorius

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Türöffnung / ouverture des portes: 20h00
Konzert / concert: 21h00
Preis / prix: 30.-
Vorverkauf / prélocation: www.petzi.ch
Genre: Improvised Music

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Fredy Studer: Solo Drums - Now's TheTime
Né en 1948 à Lucerne où il vit toujours, Fredy Studer est l’un des plus célèbres batteurs suisses. Véritable autodidacte, ses expériences de jeu sont aussi variées que ses activités en freelance avec des musiciens tels que John Abercrombie ou John Zorn. Fredy Studer a reçu de nombreux prix et se produit sur les scènes du monde entier.

Fredy Studer fut l’un des premiers batteurs à associer l’improvisation libre aux grooves de son propre style. Le magazine spécialisé «Drums & Percussion» écrit d’ailleurs à son sujet: «Le Suisse Fredy Studer est sans aucun doute l’un des batteurs les plus innovants de toute l’Europe». Les réalisations de Studer sont documentées sur plus de 100 enregistrements. Son coffret NOW’S THE TIME sort le 24 août prochain. Il contient deux vinyles de solo de batterie (180 g) ainsi qu’un livre de 224 pages.


Emaille - Koch - Peter
Hans Koch et Thomas Peter travaillent en duo depuis l’automne 2013. Ils réunissent leur vaste expérience dans le domaine de l’improvisation, du jazz, de la musique contemporaine et électronique à l’occasion d’un projet totalement libre et improvisé. Avec Camille Emaille, la formation gagne une jeune percussionniste en devenir, qui semble née pour l’improvisation libre.

Le trio travaille avec des espaces sonores aux structures extrêmement complexes et variées. Le bruit, l’hétérogénéité et l’absence de rythme dominent à de multiples reprises mais restent entrecoupés de passages calmes et de consonances finement ciselées.


Mr. Schütz & Mr. Sartorius
cello ’n’ drum
Martin Schütz: cello, el.
Julian Sartorius: drums

Pourquoi l’art est-il extraordinaire? Parce qu’il est inutile. Pourquoi la vie est-elle si laide? Parce qu’elle ne se compose que de buts, de faits et d’intentions. Tous ses chemins nous mènent d’un point à un autre. Si seulement nous avions un chemin conduisant d’un lieu d’où personne ne vient à un autre où personne ne va. Comme j’aimerais consacrer ma vie à la construction d’un chemin, commençant au milieu d’un champ et menant au milieu d’un autre. Un chemin qui, prolongé, serait utile mais qui ne resterait miraculeusement qu’une moitié de chemin.
(Fernando Pessoa, Le livre de l’intranquillité)